[ jeu collectif ] Il était une fois...

Rappel du premier message :

Bonjour à tou-te-s!

Suite à une idée de For-the-life dans le sujet Poèmes et technique d'écriture, en voici une autre assez proche. L'idée est de raconter une histoire, tous ensemble, en rajoutant quelques mots (pas 3 lignes hein ) chacun à notre tour. En évitant de poster deux fois de suite (sauf s'il n'y a pas de nouvelle réponse dans les 24h disons). Si possible en essayant de commencer une nouvelle phrase quand on décide d'en finir une et en essayant de finir par une ouverture.

[edit: Pour plus de compréhension il est préférable de copier-coller le texte complet et de mettre en couleur les mots que l'on a ajoutés ]

Par exemple:

Spoiler:

Vous avez compris l'idée?


Il était une fois ...

Il était une fois une affreuse sorcière aux cheveux en toile d'araignée. Elle vivait dans une vieille maison avec son beau petit chien qui ne supportait pas la violence.
Un jour, alors qu'elle se promenait avec lui, elle entendit un cri étrange mais étonnamment puissant venant du fond des bois. Son chien s'affola et fonça dans les profondeurs obscures de la forêt, tandis que la sorcière trébuchait en essayant de jeter un sort de Clairevision. Le chien était déjà loin désormais, elle se relava avec peine et essaya de le rattraper.
Le chien se retrouva dans une magnifique clairière où il vit alors l'arbre le plus gros et le plus majestueux que l'on puisse imaginer. La sorcière, attirée par cette étrange clarté s'approchait lentement. Elle se rendit alors compte avec étonnement que l'arbre était en train de pleurer. Une pluie de feuilles dorées scintillait sous leurs yeux, l'arbre tendit une branche vers le chien qui grimpa dessus pour admirer la vue. La sorcière murmura "Quel arbre majestueux!...". Elle sentit toute la forêt se morfondre dans un sorte de long soupir, qui ressemblait aux pleurs de l'arbre. La sorcière se retourna et abaissa sa robe noire, car prise d'une soudaine envie de se sentir en communion avec Mère Nature.
Tout à coup, le chien aboya dans l'arbre, il avait aperçu une ombre qui se faufilait dans la forêt. Elle venait vers elle.

Il était une fois une affreuse sorcière aux cheveux en toile d'araignée. Elle vivait dans une vieille maison avec son beau petit chien qui ne supportait pas la violence.
Un jour, alors qu'elle se promenait avec lui, elle entendit un cri étrange mais étonnamment puissant venant du fond des bois. Son chien s'affola et fonça dans les profondeurs obscures de la forêt, tandis que la sorcière trébuchait en essayant de jeter un sort de Clairevision. Le chien était déjà loin désormais, elle se relava avec peine et essaya de le rattraper.
Le chien se retrouva dans une magnifique clairière où il vit alors l'arbre le plus gros et le plus majestueux que l'on puisse imaginer. La sorcière, attirée par cette étrange clarté s'approchait lentement. Elle se rendit alors compte avec étonnement que l'arbre était en train de pleurer. Une pluie de feuilles dorées scintillait sous leurs yeux, l'arbre tendit une branche vers le chien qui grimpa dessus pour admirer la vue. La sorcière murmura "Quel arbre majestueux!...". Elle sentit toute la forêt se morfondre dans un sorte de long soupir, qui ressemblait aux pleurs de l'arbre. La sorcière se retourna et abaissa sa robe noire, car prise d'une soudaine envie de se sentir en communion avec Mère Nature.
Tout à coup, le chien aboya dans l'arbre, il avait aperçu une ombre qui se faufilait dans la forêt. Elle venait vers elle.
Cette ombre était noir comme la nuit, affreuse, la sorcière..

prit sa baguette

Il était une fois une affreuse sorcière aux cheveux en toile d'araignée. Elle vivait dans une vieille maison avec son beau petit chien qui ne supportait pas la violence. Un jour, alors qu'elle se promenait avec lui, elle entendit un cri étrange mais étonnamment puissant venant du fond des bois. Son chien s'affola et fonça dans les profondeurs obscures de la forêt, tandis que la sorcière trébuchait en essayant de jeter un sort de Clairevision. Le chien était déjà loin désormais, elle se relava avec peine et essaya de le rattraper.

Le chien se retrouva dans une magnifique clairière où il vit alors l'arbre le plus gros et le plus majestueux que l'on puisse imaginer. La sorcière, attirée par cette étrange clarté s'approchait lentement. Elle se rendit alors compte avec étonnement que l'arbre était en train de pleurer. Une pluie de feuilles dorées scintillait sous leurs yeux, l'arbre tendit une branche vers le chien qui grimpa dessus pour admirer la vue. La sorcière murmura "Quel arbre majestueux!...". Elle sentit toute la forêt se morfondre dans un sorte de long soupir, qui ressemblait aux pleurs de l'arbre. La sorcière se retourna et abaissa sa robe noire, car prise d'une soudaine envie de se sentir en communion avec Mère Nature.

Tout à coup, le chien aboya dans l'arbre, il avait aperçu une ombre qui se faufilait dans la forêt. Elle venait vers elle. Cette ombre était noire comme la nuit, affreuse, la sorcière prit sa baguette et dit: "Est-ce toi, créature, qui tourmente ainsi la forêt?" L'ombre...

Il était une fois une affreuse sorcière aux cheveux en toile d'araignée. Elle vivait dans une vieille maison avec son beau petit chien qui ne supportait pas la violence. Un jour, alors qu'elle se promenait avec lui, elle entendit un cri étrange mais étonnamment puissant venant du fond des bois. Son chien s'affola et fonça dans les profondeurs obscures de la forêt, tandis que la sorcière trébuchait en essayant de jeter un sort de Clairevision. Le chien était déjà loin désormais, elle se relava avec peine et essaya de le rattraper.

Le chien se retrouva dans une magnifique clairière où il vit alors l'arbre le plus gros et le plus majestueux que l'on puisse imaginer. La sorcière, attirée par cette étrange clarté s'approchait lentement. Elle se rendit alors compte avec étonnement que l'arbre était en train de pleurer. Une pluie de feuilles dorées scintillait sous leurs yeux, l'arbre tendit une branche vers le chien qui grimpa dessus pour admirer la vue. La sorcière murmura "Quel arbre majestueux!...". Elle sentit toute la forêt se morfondre dans un sorte de long soupir, qui ressemblait aux pleurs de l'arbre. La sorcière se retourna et abaissa sa robe noire, car prise d'une soudaine envie de se sentir en communion avec Mère Nature.

Tout à coup, le chien aboya dans l'arbre, il avait aperçu une ombre qui se faufilait dans la forêt. Elle venait vers elle. Cette ombre était noire comme la nuit, affreuse, la sorcière prit sa baguette et dit: "Est-ce toi, créature, qui tourmente ainsi la forêt?" L'ombre saisit le chien...

Il était une fois une affreuse sorcière aux cheveux en toile d'araignée. Elle vivait dans une vieille maison avec son beau petit chien qui ne supportait pas la violence. Un jour, alors qu'elle se promenait avec lui, elle entendit un cri étrange mais étonnamment puissant venant du fond des bois. Son chien s'affola et fonça dans les profondeurs obscures de la forêt, tandis que la sorcière trébuchait en essayant de jeter un sort de Clairevision. Le chien était déjà loin désormais, elle se relava avec peine et essaya de le rattraper.

Le chien se retrouva dans une magnifique clairière où il vit alors l'arbre le plus gros et le plus majestueux que l'on puisse imaginer. La sorcière, attirée par cette étrange clarté s'approchait lentement. Elle se rendit alors compte avec étonnement que l'arbre était en train de pleurer. Une pluie de feuilles dorées scintillait sous leurs yeux, l'arbre tendit une branche vers le chien qui grimpa dessus pour admirer la vue. La sorcière murmura "Quel arbre majestueux!...". Elle sentit toute la forêt se morfondre dans un sorte de long soupir, qui ressemblait aux pleurs de l'arbre. La sorcière se retourna et abaissa sa robe noire, car prise d'une soudaine envie de se sentir en communion avec Mère Nature.

Tout à coup, le chien aboya dans l'arbre, il avait aperçu une ombre qui se faufilait dans la forêt. Elle venait vers elle. Cette ombre était noire comme la nuit, affreuse, la sorcière prit sa baguette et dit: "Est-ce toi, créature, qui tourmente ainsi la forêt?" L'ombre saisit le chien avec ses mains infernales qui semblaient venir des limbes et lui murmura à l'oreille...